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CCRm : comment faciliter la résécabilité ?

Durée5:43
19 janvier 2016
Les malades souffrant d'un CCRm (RAS sauvage) chez qui une "fonte tumorale" rapide s'impose (pour des raisons notamment chirurgicales), doivent bénéficier en première intention d'un traitement combinant bichimiothérapie et anti-EGFR. Pourquoi une telle association ? Parce qu'elle conduit à une amélioration importante (de plus de 10%) du taux de réponse objective, et permet une réponse thérapeutique à la fois plus profonde et plus rapide.

Quelles sont à l'heure actuelle les modalités de la chimiothérapie intra-artérielle hépatique (CIAH), éventuellement combinée aux anti-EGFR (cétuximab) intraveineux ? 
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